Description de
l'effet Une chaîne
comportant un anneau à une extrémité et un second quelques centimètres plus bas ainsi
qu'un cadenas sont remis aux spectateurs qui peuvent les examiner à loisir. Un spectateur
est chargé de lier solidement les poignets du magicien. Il commence par entourer le
premier poignet, faisant passer la chaîne dans le premier anneau. Tout le monde peut
constater que le poignet est prisonnier. Le magicien joint ses deux poignets et demande au
spectateur de faire passer la chaîne autour, elle est ensuite introduite dans le second
anneau. Le spectateur tire dans le sens inverse pour bien serrer les poignets. Le
spectateur tire fortement en sens inverse pour bien serrer la chaîne autour des poignets,
puis il la fixe avec un cadenas.
Ainsi lié par un spectateur et avec du matériel examiné, le magicien parvient à se
libérer en un rien de temps. |
Notre
avis Cet article n'a d'intérêt que s'il est associé avec un autre effet,
comme par exemple être enfermé dans un sac.
Rien nest truqué, ni la chaîne, ni le cadenas pourtant, il ne suffit au magicien
que de quelques secondes pour se libérer de son entrave. Un bon article surtout destiné
à la magie sur scène. |
Nos
conseils Rien ne vous
empêche de vous fabriquer ce matériel, si c'est pour votre usage personnel et que vous
n'en faites pas le commerce, vous trouverez lexplication de ce tour dans le livre de
Patrick Page " 120 tours de prestidigitation faciles et étonnants
", sous le nom " la libération de la chaîne ".
Mise en garde, le matériel est tellement
simple à reproduire que vous en trouverez des copies illégales notamment dans des
petites annonces sur Internet. Si les articles sont protégés, en les achetant vous
devenez receleur. S'ils ne sont pas protégés mais que vous les achetez à des personnes
qui les fabriquent dans l'intention dans faire le commerce et qui n'ont pas la qualité de
commerçant, vous contribuez à développer ce commerce illicite et en devenez complice.
En achetant, diffusant, utilisant des copies, vous contribuez petit à petit à la mort de
notre art. |